Les ateliers de pratiques artistiques

Depuis plusieurs années GRAME mène des ateliers de pratiques artistiques dans les collèges en Rhône-Alpes. Ces interventions bénéficient du soutien de la DRAC et sont des collaborations qui se poursuivent depuis 12 ans pour certaines.

Dans le cadre des Journées Grame 2011, le 15 avril, une répétition commentée sera organisée à destination des classes bénéficiant d’atelier de pratique artistique :
Théâtre Astrée de l’Université Claude Bernard Lyon 1
Répétition de l’Ensemble Orchestral Contemporain, direction Daniel Kawka

Pièces de: François Paris, Raphaële Biston, E. Denisov, E. Casale

Collège du Puits de la Loire (St Etienne), hors REP


Dispositif : Atelier de pratique artistique
« Le collège comme vous ne l'avez jamais vu » (projet d'installation vidéo et sonore)
Enseignant(s) concerné(s) et qualité(s) : Michel Tremoulhac, professeur d'éducation musicale, Patrick Orsini, professeur d'arts plastiques

Élèves concernés : 12 élèves des classes de 4ème et 3ème
Intervenants et qualités : Jean François Estager (compositeur), Guillaume Blanc, photographe/vidéaste
Nombre d'heures d'interventions avec les élèves : 30 heures (15 heures pour Jean François Estager, 15 heures pour Guillaume Blanc)

Contexte du projet :
Le professeur d'éducation musicale, Michel Reyes, souhaite inviter ses élèves à l'élaboration d'une installation sonore et vidéo. Il s'agira d'investir un lieu du collège afin d'en changer la perception au moyen de projections d'images fixes et animées et de bandes sonores.
Interdisciplinarité : musique, photographie, vidéo

Définition des objectifs :
Cette installation sera proposée aux élèves du collège comme une oeuvre à visiter, dans laquelle il faut s'immerger. Elle permettra aux élèves, au-delà du travail et de l’écoute, d’entrer en interaction avec les sons et les images. Tout au long de l'atelier les élèves auront l’occasion d’approcher les œuvres de quelques artistes contemporains : des artistes qui travaillent sur la perception de l’espace comme des artistes qui font de l’art vidéo : Bill Viola, Thierry Kuntzel, Yayoi Kuzama, Ann Véronica Janssens, Paul Pfeiffer, Martin Creed…
Telle une « matière sonore », les bruits et interactions (réalisées grâce au logiciel Elody), fruits de traitement préalables habilleront le lieu par une diffusion multi-canal « inattendue », voire improbables (sources sonores cachées dans des éléments de mobilier ou d’équipement de la salle, par exemple).

Moyens pour atteindre les objectifs :
- découverte de certains artistes contemporains ayant travaillé sur la perception de l'espace
- captation sonores et visuelles
- création de séquences électroacoustiques interactives grâce au logiciel Elody
- montage des bandes sonores et des prises de vues

Production / Edition :
Une rencontre entre les trois ateliers du dispositif « Regards Croisés » a permis la diffusion des pièces créées par les élèves sur le site du Temps silencieux.

Intentions :
Les intentions affichées par l'équipe qui encadre l'atelier et sur lesquelles enseignants et partenaires se sont concertés :
} au plan de la pratique artistique
} au plan de la fréquentation des lieux et de l'acquisition d'une culture
} au plan de l'éducation du regard, de l'écoute, d'un comportement de spectateur

Comme l’année passée, compte tenu de l’aspect très positif de l’élargissement du travail à l’Image, les élèves de l'atelier poursuivront leur apprentissage et, pour les débutants, apprendront à manipuler les
outils visuels et sonores utilisant les technologies nouvelles, et amélioreront leur compétence et la pertinence de leur utilisation de ces matériels pour les élèves initiés.
Les notions de séquence, échantillonnage, captation, traitement et stockage du son et de l’image (incluant les problèmes de compression, d'encombrement d'espace-mémoire), de temps réel-pas à pas seront toujours à l'étude ; de la pratique naîtront théorisation et élaboration de stratégies créatives.

Ensuite l’Atelier 2010-2011 s’inscrira dans le projet suivant :

« REMAKE »
Remake, recyclage, reprise, relecture, réinterprétation, emprunt, réappropriation, citation, détournement...

« Si l'art a une histoire et s'il continue à en avoir une, c'est bien grâce au travail des artistes et, entre autres, à leur regard sur les œuvres du passé, à la façon dont ils se les sont appropriées. Si vous
n'essayez pas de comprendre ce regard, de retrouver dans tel tableau ancien ce qui a pu retenir le regard de tel artiste postérieur, vous renoncez à toute une part de l'histoire de l'art, à sa part la plus
artistique. »
(Daniel Arasse, On n'y voit rien. Descriptions, Denoël, 2000.)

Que se passe-t-il lorsque l'œuvre qui a été fabriquée avec des outils devient, à son tour, un outil ?  Au-delà des modes d'imitation que sont la copie, le pastiche, la caricature, le plagiat etc., ces pratiques du « Re » induisent un nouveau rapport à l'image, rapport dont la dimension économique est déplacée. En effet, si nous savons que la télévision et les médias en général ont imposé le modèle du duo
production/consommation, le remake, le sample, l'interprétation plastique semblent vouloir proposer un nouveau projet. « De ces artistes qui insèrent leur propre travail dans celui des autres, on peut dire qu'ils contribuent à abolir la distinction traditionnelle entre production et consommation, création et copie, ready-made et œuvre originale ». (Nicolas Bourriaud, Postproduction, p. 5).
Vouloir « habiter une image » n'est-ce pas avant tout admettre qu'elle nous appartient, que nous en sommes les dépositaires et que nous avons le droit de la réutiliser pour transformer son sens ? Aussi, la valeur interprétative d'un objet n'est-elle pas également sa valeur d'usage ? » (LA VOIX DU REGARD Revue littéraire sur les arts de l'image, extrait du texte de l’avant-projet du n° 18 :
« Recyclages »)

Projet : 
> Réaliser une série de « Remake » animés, visuels et sonores de grandes œuvres de l’histoire de l’art.
> Travailler le passage de l’image fixe à l’image animée en se servant des technologies numériques.
> Introduire de la durée, la dimension « temps » dans une œuvre qui était une image fixe à l’origine.
> Imaginer un univers sonore pour une peinture.

Objectifs pédagogiques :
> Développer la curiosité et l’intérêt des élèves pour l’histoire de l’art en l’abordant de manière ludique.
> Développer l’esprit critique et l’esprit d’analyse de nos élèves. Réaliser un « remake » d’une œuvre sous-entend d’en comprendre le sens premier et d’en saisir les enjeux. La réalisation d’un détournement intelligent ne peut se faire sans ce travail préalable.
> S’interroger sur des questions fondamentales pour la création artistique : Que signifie créer ? Comment inventer ? Est-ce que copier c’est créer ?...
> Réfléchir à la notion d’auteur et de droit d’auteur, au centre de polémiques liées aux outils numériques et auxquelles nos élèves sont particulièrement sensibles.

Logiciels envisagés pour la réalisation du projet : 
> Pour la partie image : Adobe Photoshop et Adobe première dans leurs versions « éléments », Flash MX.
> Pour la partie son : Audacity, Sound Forge, Magix AudioStudio, ProTools...

Sortie prévue : Visite de la collection du musée d’art moderne de Saint-Etienne afin d’y choisir éventuellement des œuvres à partir desquelles travailler.

Expérimentation et pratique créatrice du système sonore interactif (suite des années précédentes)
Il est essentiel, pour les enseignants comme pour les élèves, de partager les ressources développées dans leurs ateliers respectifs, afin de rompre avec une tendance au cloisonnement de chacun des projets.

C'est grâce à la pérennisation de cet atelier que nous travaillons depuis plusieurs années avec Grame sur la redéfinition de deux logiciels d'assistance à la composition : Dédalus (transformation du son en temps réel) Elody, développé par le département scientifique. Cette confrontation des travaux sur plusieurs ateliers de pratiques artistiques permet l'utilisation pédagogique du logiciel Elody par chaque enseignant (et de façon autonome) avec les élèves des ateliers.  Enfin, cet outil nous permet aujourd'hui d'initier de nouvelles rencontres avec d'autres formes d'expression artistique contemporaine comme bien sûr l’image. Ainsi, Elody devient un outil au service de toute forme d'ateliers de pratique artistique.

Moyens mobilisés par l’établissement :
Comme par le passé, l'établissement mettra à disposition matériel et locaux, tout en permettant le bon déroulement des éventuels déplacements (Lyon).  Les moyens matériels s’enrichissent au fils des années. Ils sont aujourd’hui importants à l’exception des stations informatiques, anciennes, qu’il conviendra de renouveler prochainement.
Pour la partie « son » : stations de travail, enregistreurs numériques de type Zoom, expandeur, boitiers audio USB, table de mixage, micros et logiciels de montage et de traitement du son (Audacity, Pro-Tools, Sound Forge, AudioStudio [Music Maker]) 

Pour la partie « image » : postes informatiques dédiés à l’image, appareil photo numérique, camescope, logiciels de traitement de l’image (Gimp, Art Weaver, Photophiltre, Photoshop, Flash, Sony Vegas Pro...). Certaines dispositions seront prises comme chaque année dans l'organisation des plages horaires et emplois du temps, afin de permettre la meilleure adéquation quant au travail des différents partenaires. Il est souhaitable comme par le passé, que les interventions de Grame aient lieu pendant l'horaire hebdomadaire de l'atelier avec débordement éventuel comme c’est le cas cette année, afin de ne pas "détourner" les élèves des heures normales de cours. 

Conditions de fonctionnements prévus par l'établissement :
L’Atelier est proposé d’abord aux élèves de 4e et 3e. Toutefois les candidatures d’élèves motivés plus jeunes sont acceptées dans la mesure des places disponibles.  Il a lieu une fois par semaine durant 2 heures sur le créneau de la mi-journée. Une souplesse dans l’organisation permet le cas échéant de gérer l’effectif total en deux groupes. Il n’y a pas d’horaires banalisés dans l’emploi du temps des
élèves, mais le cas échéant, une demi-journée exceptionnellement banalisée pour un travail approfondi avec GRAME ou un déplacement en cours d’année. Le succès de l’atelier 2009/2010, et depuis 4 ans l’ajout de la partie « image » a fait apparaître un déficit de temps. La pratique de la vidéo numérique par exemple demande beaucoup de temps de travail et une organisation en petits groupes. Les élèves ont semblé frustrés par le petit nombre d’heures que nous avons pu y consacrer. Nous l’évoquions déjà l’an dernier, il nous semble donc pertinent, comme nous y autorisent les textes officiels, de demander à passer à trois heures par semaine de façon à pouvoir approfondir notre travail notamment au niveau de son interdisciplinarité.

Dispositif : Atelier de pratique artistique
"Les parcours intérieurs"

Enseignant(s) concerné(s) et qualité(s) : Irène Adjou, professeur d'éducation musicale, Emmanuel Girard, professeur de lettres

Élèves concernés : 16 élèves de SEGPA

Intervenants et qualités : Jean François Estager (compositeur), Guillaume Blanc, photographe et vidéaste, Jean-Christophe Bacconnier, photographe

Nombre d'heures d'interventions avec les élèves : 30 heures

Contexte du projet :
Atelier de création artistique proposé aux élèves de 3è volontaires, associé à la découverte des lieux culturels de l’agglomération, à raison d’une visite par période de 6 semaines. L’atelier sera animé en interdisciplinarité par les professeurs d’arts plastiques et d’éducation musicale et sera relié autant que possible aux problématiques développées par les élèves en histoire des arts.
En début d’année, un thème de travail et de recherche sera défini et approfondi avec les élèves de l’atelier, en collaboration étroite avec les artistes.

Interdisciplinarité : photographie, musique électroacoustique

Définition des objectifs :
Les ateliers de pratique artistique reposent précisément sur la découverte et l'apprentissage de la disponibilité des élèves à l'écoute de leur environnement sonore. Il s'agira d'amener les élèves à être plus réceptifs et attentifs à une pratique de l'écoute du bruit, de sons qui nous entourent mais aussi du silence.

Moyens pour atteindre les objectifs et déroulement de l’atelier :

• création de situations mises en scène à l’intérieur du collège avec un travail littéraire mené au préalable
• définition des différents espaces et plans à photographier, réflexion sur les objets à utiliser, les positionnements, les manières de capter l’image
• analyse et choix des photos qui seront analysées et choisies, puis travaillées sur Photoshop pas les élèves afin de montrer leur lieu de travail sous un angle artistique
• travail de sensibilisation musicale effectué à partir d’instruments et objets sonores suivi d’un travail d’enregistrement dans les lieux choisis au sein du collège pour les images
• les musiques électroacoustiques créées par les élèves seront issues des prises de sons réalisées dans le collège. La finalisation des bandes sonores sera effectuée dans les studios de Grame où les élèves pourront également expérimenter la technique d’interactivité musicale (retransmission et traitements des créations sonores en temps réel)
• la mise en espace artistique du collège sera élaborée parallèlement à partir des images réalisées par les élèves puis associée à la bande son travaillée
• la réalisation finale sera vidéoprojetée et présentée par les élèves de l’atelier à des classes invitées et pourra faire l’objet d’une présentation sur le site du collège

Découvertes d'autres lieux culturels :
Participation aux performances Le temps silencieuxen juin 2011
Participation à une répétition publique lors des Journées Grame 2011

Production / Edition :
Une réalisation finale sera vidéo-projetée, présentée et expliquée par les élèves de l'atelier à des classes invitées

Enseignant(s) concerné(s) et qualité(s) : Estelle Mujic, professeur d'éducation musicale, Nadine Gay, professeur d'éducation musicale

Élèves concernés : 15 élèves volontaires de 4ème.

Intervenants et qualités : Jean François Estager (compositeur), Guillaume Blanc, photographe et vidéaste

Nombre d'heures d'interventions avec les élèves : 30 heures (15 heures pour Jean François Estager, 15 heures pour Guillaume Blanc

Contexte du projet :
Les professeurs d'éducation musicale ont souhaité proposer à leurs élèves un travail sonore et visuel autour  des travaux de rénovation et de construction de l'établissement scolaire. Les élèves ont produit des courts-métrages liés à des séquences musicales composées également par les élèves.

Interdisciplinarité : musique, photographie, vidéo

Définition des objectifs : 
Le but de cet atelier est d'une part, de développer l'intérêt des élèves pour des activités culturelles et artistiques, et d'autre part, de leur faire prendre conscience de l'environnement sonore dans lequel nous évoluons et qui est perçu par chacun de façon complètement subjective.

Moyens pour atteindre les objectifs :
- pratique de l'écoute : faire prendre conscience aux élèves que l'écoute est une activité qui requiert de la disponibilité et de la concentration
- captations sonores et visuelles sur les lieux du collège
- travail de montage des séquences sonores et visuelles créées

Découverte d'autres lieux culturels :
Les élèves et leur professeur se sont rendus au Grame pour une visite des lieux, mais également pour finaliser leur bande sonore et leurs vidéos dans les studios. Ils ont ainsi pu finaliser la réalisation de leur dvd.
Participation aux performances Le temps silencieuxle 11 juin 2010, et confrontation de leurs travaux avec les autres élèves invités à performer sur l’installation.

Production / Edition :
Les élèves ont réalisé un film de l'ensemble de leur travail, associant leurs créations visuelles et sonores.

Le but de l'atelier est :
d’une part de développer l’intérêt des élèves pour les activités culturelles et artistiques grâce à un dispositif permettant une pratique et une réflexion dans le domaine de la création musicale contemporaine, une politique d’invitations à des événements musicaux (notamment programmation EOC d’Andrézieux Bouthéon, classe électro du conservatoire etc…)
d’autre part faire prendre conscience aux élèves de l’environnement sonore dans lequel nous vivons et qui est perçu par chacun d’entre nous d’une manière subjective. Cet objectif répondra au souci de résonance du travail de l’atelier auprès des autres élèves et enseignants du collège.

Ce projet répond également à la volonté de mettre les élèves directement en contact avec des artistes professionnels.
L’objectif de l’atelier est de montrer à nos élèves les possibilités offertes par l’utilisation des nouvelles technologies dans le cadre de la création musicale (musiques interactives, utilisation des logiciels Protools, Audacity, Dédalus etc…). De cette utilisation résultent de nouvelles modalités d’écritures et de nouvelles pratiques instrumentales que nous souhaitons leur faire découvrir et pratiquer en les associant à la création de courts-métrages mêlant création musicale et visuelle autour du silence en musique. Il nous semble toujours essentiel d’inviter les autres élèves et enseignants à prendre part au décryptage des environnements sonore et visuel qui composent la vie du collège sur lesquels travaille l’atelier de pratique artistique.
La création d’un atelier artistique « musique » permet de placer les élèves en situation d’apprentissage par rapport au savoir-faire, à la pratique et à la réflexion d’un compositeur et d’un vidéaste professionnels.

Descriptif:
Etude avec le professeur des œuvres majeures et des figures marquantes de la musique concrète.
Etude et réalisation des différentes étapes de la création musicale et vidéo :
Pratique de l’écoute : on entend l’environnement sonore dans lequel on vit mais son écoute suppose une disponibilité et une concentration particulière avant de passer à une phase de travail sur les séquences sonores sélectionnées.
Enregistrement de sons et de séquences vidéo  sélectionnées pendant les temps forts des travaux au collège.
Mutualisation de l’écoute des environnements sonores avec les autres élèves et enseignants du collège (invitation à un travail d’écriture avec les professeurs de français pour parvenir à décrire les interprétations subjectives de chacun des élèves d’un son pourtant identique pour tous)
Transformation des sons et des images ( photos montage et séquences vidéo animées) grâce à l’outil informatique (apprentissage de différents logiciels de traitement du son et de l’image).
Création de séquences sonores associées à la vidéo et à la photo.
Réalisation d’un DVD.

Effets attendus sur les élèves :
Les ouvrir sur la culture, les ouvrir à des esthétiques musicales multiples. Découvrir les musiques, s’investir dans l’atelier, aiguiser leur curiosité, leur sens critique, les impliquer dans une œuvre collective. Respecter le choix des autres mais aussi discuter, exposer son point de vue pour faire aboutir au mieux un projet collectif.
Partager cette expérience de l’écoute et de la réinterprétation avec les autres élèves de l’établissement.
Effets attendus sur l’établissement :
Créer un rayonnement pour que d’autres élèves aient ce même éveil à la curiosité de l’écoute . Comprendre que notre environnement sonore et visuel peut être apprivoisé et non seulement subi. Découvrir le vocabulaire nécessaire à la description de notre environnement, découvrir la capacité à écouter et plus seulement entendre. Être capable de réinvestir le contenu de l’enseignement musical lors de l’écoute d’une œuvre musicale : Désinhiber la pratique de l’écoute. Participer à un échange entre les élèves de l’atelier et les autres élèves du collège par le biais d’une présentation du travail réalisé tout au long de l’année. Participation à la journée « portes ouvertes »  du collège.

Education du regard, de l’écoute, d’un comportement spectateur
Nous souhaitons proposer aux élèves :
Une visite du GRAME
Assister à une répétition publique dans le cadre des journées GRAME
Une présentation faite par J.F ESTAGER de la musique contemporaine et de l’utilisation des nouvelles technologies dans la musique au cours du XX° siècle.